-
- « Le message de
Beat Richner et de Georges Gachot est clair : les enfants
cambodgiens ont droit à la même
médecine que les enfants suisses. Cette conviction
anime aussi bien le pédiatre que le
réalisateur. Ainsi le film de Georges Gachot sur
le travail de Beat Richner témoigne-t-il de cette
volonté absolue de faire que ce droit devienne
réalité. Un produit remarquable du
cinéma suisse, qui fait le pari de suivre Beat
Richner dans le rythme infernal de son activité.
Des images bouleversantes, mais aussi des images qui
révèlent la forte personnalisation du
travail de Beat Richner. Quoi qu'il en soit, un film qui
mérite d'être vu ce week-end. »
- © Aargauer
Zeitung, 17 novembre 2000
- ___________________________
- « Quel que soit
le jugement que l'on porte sur la méthode du Dr
Richner en matière de politique de
développement, dans le film de Georges Gachot, il
nous montre une fois de plus que c'est à ceux qui
ne font rien contre la misère de se justifier.
»
- © Neue
Zürcher Zeitung, 31 mars 2000
- ___________________________
- « And the Beat
goes on » est un film sur le flot ininterrompu
d'enfants malades et sur un homme qui, en dépit de
toute logique, réussit cependant de manière
incroyable à lutter contre la violence de flux.
»
- © Die
Südostschweiz, 1er juillet 2000
- ___________________________
- « Le coeur du
combattant ne faiblit pas - Le médecin au
violoncelle, Beat Richner, est toujours au Cambodge. Le
réalisateur Georges Gachot lui a rendu visite pour
la deuxième fois : « And the Beat goes on
»... et comment.
- « Les
fonctionnaires traînent, les enfants meurent »
: la « Chanson des fonctionnaires »,
chanté par le pédiatre qui s'accompagne
énergiquement au violoncelle laisse craindre la
résignation. Heureusement pour le Cambodge, c'est
toujours la rage qui anime le Dr Richner. Une rage ?
même, à l'égard des «
bornés de l'Occident », qui lui reprochent de
créer, avec ses hôpitaux, des besoins qui
n'auraient pas existé auparavant. Le documentaire
de Georges Gachot prouve le contraire. Avant
l'arrivée de Richner, les enfants malades du
Cambodge mouraient tout simplement ; depuis huit ans, ils
ont au moins une chance de survivre. Le titre le dit
clairement : Richner n'a pas abandonné la lutte
contre la tuberculose, la malaria, la méningite et
la corruption. Son coeur continue de battre pour les plus
pauvres parmi les pauvres - ce qui n'a pas non plus
échappé au Roi Sihanouk. « Je vous
remercie pour tout ce que vous avez fait pour notre pays
» déclare-t-il, à l'occasion de son
anniversaire, au Dr Richner. Lequel le remercie à
son tour en jouant « Le Chant des oiseaux » de
Casals : sans aucun doute l'un des moments les plus forts
du film. » © St.Galler Tagblatt, 3 novembre
2000
- ___________________________
- « Le
réalisateur Georges Gachot est manifestement
très impressionné par l'action humanitaire
du Dr Richner - avec raison, car cet homme accomplit des
miracles. »
- © Berner
Zeitung, 7 octobre 2000
- ___________________________
- « Ainsi, à
travers de nombreuses interviews et séquences sur
le quotidien de l'hôpital, le film montre tout
d'abord l'action exceptionnelle d'un médecin
suisse qui, avec un minimum de moyens mais un engagement
personnel hors du commun, a réussi à «
soulever des montagnes ». Il montre également
tout ce qui est possible dès lors que l'on fait
confiance aux gens et qu'on leur met à disposition
le savoir et le matériel nécessaires
à une existence digne d'un être humain.
»
- © Zeit-Fragen,
27 novembre 2000
- ___________________________
- « And the Beat
goes on » se nourrit d'une part des chiffres
impressionnants que l'action du Dr Richner peut
présenter et d'autre part de la fascination de
Georges Gachot pour les êtres qui se trouvent
derrière ces chiffres. Mais, de même que
Richner se met peu en avant lui-même, de même
les procédés du film de Georges Gachot
demeurent imperceptibles : il laisse parler les faits.
Cependant, l'effet de perspective des rues ou des
couloirs d'hôpitaux qui se perdent dans le lointain
se révèle lourd de symboles ; les plans
suggèrent le chemin qu'ont entamé le
Cambodge et Beat Richner et que, selon Gachot, ils
doivent poursuivre : « And the Beat goes on ».
- © Der Bund, 4
octobre 2000
- ___________________________
- « Le scandale
de la pauvreté - L'extrême
pauvreté ne doit pas restreindre le droit qu'ont
les enfants de bénéficier du meilleur
traitement possible. La mentalité de l'Occident
qui fait l'aumône aux pauvres met Richner hors de
lui, et il fait la morale aux bornés. Le
documentaire de Georges Gachot est un appel au changement
de mentalité et à l'action. »
© TR7, 13-19 mai 2000
- __________________________
- « Un
hôpital pour enfants plutôt qu'un char
d'assaut - Le Conseil fédéral propose
d'acheter 186 chars blindés pour 990 millions de
francs. Cela fait 5 332 580,65 francs par char.
Récemment, j'ai vu la première du film de
Georges Gachot « And the Beat goes on », un
film sur le Dr Beat Richner et son oeuvre au Cambodge...
»
- © Courrier des
lecteurs, Tagesanzeiger, 5 avril 2000
- ___________________________
- « Un pladoyer
pour le Dr Beat Richner. Des écoliers ont vu le
film sur l'action du Dr Beat Richner au Cambodge et ils
ont été fortement impressionnés.
»
- © Neues
Bülacher Tagblatt, 20 décembre 2000
|